>
Critique de Des_potron_minet
Je ne lis pas beaucoup de feel good, c'est un genre que j'apprécie de temps en temps à condition qu'il n'y ait pas trop de romance et que soit pas trop gentillet, guimauve. Et le contrat est rempli avec La vie rêvée des chaussettes orphelines.
J'ai aimé la double temporalité, on suit Alice à son arrivée à Paris en 2019, son arrivée dans la starup Everdream qui a pour but de concevoir une application pour retrouver les chaussettes orphelines. J'ai beaucoup aimé ses collègues, assez caricaturaux mais dans ce genre de roman ça ne me gêne pas. Mais cette partie est pour moi un prétexte pour évoquer le passé d'Alice, que l'on retrouve à travers son journal intime, prénommé, Bruce Willis, en 2012, où elle vit à Londres avec son mari, ils veulent avoir un enfant mais n'y arrive pas. Elle y évoque également sa relation avec sa soeur Scarlett qui rêve de devenir une rock star et la relation très particulière qu'elles ont avec leur mère.
Ce que j'ai beaucoup aimé aussi dans ce roman c'est qu'à travers un ton léger, l'autrice parle de sujet lourd, comme l'infertilité, les tocs ou le deuil.
L'alternance entre passé/présent donne du suspense, jusqu'au dénouement qui m'a laissé pantoise. Malgré des invraisemblances, une décision finale qui m'a un peu interloqué et que je ne trouve pas saine.
Bref, j'ai passé un bon moment de divertissement avec ce roman.
J'ai aimé la double temporalité, on suit Alice à son arrivée à Paris en 2019, son arrivée dans la starup Everdream qui a pour but de concevoir une application pour retrouver les chaussettes orphelines. J'ai beaucoup aimé ses collègues, assez caricaturaux mais dans ce genre de roman ça ne me gêne pas. Mais cette partie est pour moi un prétexte pour évoquer le passé d'Alice, que l'on retrouve à travers son journal intime, prénommé, Bruce Willis, en 2012, où elle vit à Londres avec son mari, ils veulent avoir un enfant mais n'y arrive pas. Elle y évoque également sa relation avec sa soeur Scarlett qui rêve de devenir une rock star et la relation très particulière qu'elles ont avec leur mère.
Ce que j'ai beaucoup aimé aussi dans ce roman c'est qu'à travers un ton léger, l'autrice parle de sujet lourd, comme l'infertilité, les tocs ou le deuil.
L'alternance entre passé/présent donne du suspense, jusqu'au dénouement qui m'a laissé pantoise. Malgré des invraisemblances, une décision finale qui m'a un peu interloqué et que je ne trouve pas saine.
Bref, j'ai passé un bon moment de divertissement avec ce roman.
