C'est toujours un plaisir de retrouver la plume de Vargas, mais surtout, toujours du bonheur pour les yeux que de voir prendre vie Adamsberg, anti-flic, lent, rêveur, mais oh combien brillant ! Ici, deux courtes nouvelles, mais on ne boude pas son plaisir. L'esprit aiguisé de ce personnage aura le dernier mot, malgré la complexité des affaires. Bref, du bon Vargas, et mention spécial pour ce poète du banc de parc, ce voyageur tailleur, qu'est le personnage ''principal'' de la première nouvelle. Un p'tit bijou de caractère.
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