J'ai trouvé cet opus aussi bien que "
L'homme aux cercles bleus" (je lis dans l'ordre de parution), et comme on y retrouve des personnages des deux univers, Adamsberg et les évangélistes, on y trouve son compte. J'aime le style de Vargas, son humour sadique et le cynisme absolument pas masqué de certains comportements qui sont décrits ici.
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