La bonne idée de ces petits polars, c'est de retrouver des auteurs que parfois nous avions oubliés!
Jean Vautrin, entre autres, honte à moi, mes souvenirs remontent à quelques dizaines d'années! Et je n'ai plus qu'à aller voir du côté de
Baru pour découvrir ses BD..
Cette nouvelle nous interpelle à la fois
sur la société carcérale et sur ce qu'elle fait des hommes qu'elle accaparent,
sur les traitements de la maladie mentale, qui transforment des individus en otages medicamentés...
Et le cauchemar continue pour nous aussi!
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