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Critique de l-ourse-bibliophile
J'ai découvert Daniel Vaxelaire il y a plusieurs années avec Chasseurs de Noirs que j'avais beaucoup aimé ; je suis actuellement à la Réunion où il est évidemment très connu et j'ai eu l'occasion de lire cet ouvrage-ci.
C'est un livre qui ne se lâche pas. de plus la rapidité avec laquelle il se lit est augmentée par les chapitres courts qui donnent du rythme au récit et qui attise le désir du lecteur pour savoir comment cela se finit.
Sorcellerie, superstitions, fausses tisanes et poudres magiques, vols qui tournent mal : on suit l'histoire d'un homme fascinant qui se constitua une bande hétéroclite et dévouée, prête à le suivre, à minuit, jusqu'au bout de l'enfer. Et qui, contrairement à ce que la légende raconte, n'était pas Sitarane.
Daniel Vaxelaire précise bien, dans sa postface, que les relations entre les personnages sont romancées, mais les faits sont avérés. C'est un auteur qui se documente énormément, grand usager des Archives départementales et de la Bibliothèque Départementale de la Réunion. Ce roman historique permet donc de découvrir avec justesse les méfaits de ces "buveurs de sang".
Et à présent, j'espère avoir le temps d'aller faire un tour sur la tombe de Sitarane...
C'est un livre qui ne se lâche pas. de plus la rapidité avec laquelle il se lit est augmentée par les chapitres courts qui donnent du rythme au récit et qui attise le désir du lecteur pour savoir comment cela se finit.
Sorcellerie, superstitions, fausses tisanes et poudres magiques, vols qui tournent mal : on suit l'histoire d'un homme fascinant qui se constitua une bande hétéroclite et dévouée, prête à le suivre, à minuit, jusqu'au bout de l'enfer. Et qui, contrairement à ce que la légende raconte, n'était pas Sitarane.
Daniel Vaxelaire précise bien, dans sa postface, que les relations entre les personnages sont romancées, mais les faits sont avérés. C'est un auteur qui se documente énormément, grand usager des Archives départementales et de la Bibliothèque Départementale de la Réunion. Ce roman historique permet donc de découvrir avec justesse les méfaits de ces "buveurs de sang".
Et à présent, j'espère avoir le temps d'aller faire un tour sur la tombe de Sitarane...
