Les livres d'écrivains baltes (encore moins les poètes!) sont si rares en Francophonie, notamment chez nous au Québec, que je m'empresse de conseiller ce recueil de poésies choisies de
Tomas Venclova, excellemment traduit d'ailleurs du lituanien par
Henri Abril (que j'avais découvert il y a peu pour sa traduction du grand poète russe
Sergueï Essénine).
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