Dans la mémoire de Marianne, les départs de plus en plus fréquents, les absences de plus en plus longues de Dominique s'assimilent à l'odeur sucrée des gaufres que Lorette lui préparait à chaque fois pour la consoler, si bien qu'elle avait fini par détester des gâteaux, leur fausse douceur, leur blondeur insipide.
il y a bien un moment où il va falloir que tu cesses de t'enfuir, Marianne.
Lorette a parlé,mais maintenant elle se sent dévastée,comme si elle avait enterré sa fille une deuxième fois.