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Critique de LesdeliredeLou
Aujourd'hui, je vous parle de «La loi du Zen Yakuzas ! -3» de Cyril Vial - Auteur et c'est en autoédition.
Dans ce troisième tome, l'auteur développe une profondeur sentimentale humaine très marquante .
*****
Je suis très heureuse de retrouver ces personnages que j'aime beaucoup et avec lesquels je partage plein de choses, au fur et à mesure des tomes.
L'auteur n'a pas son égal pour vous proposer des êtres attachants et inoubliables. Peut-être que cette trilogie pourrait en rebuter plus d'un car vous auriez l'impression d'enchainer les histoires en n'ayant plus aucune surprise. Mais ça n'est pas le cas et ce tome 3 s'avère diffèrent sur plusieurs points.
En effet, j'ai eu l'impression de trouver cette fois une autre dimension sentimentale, une profondeur humaine que je n'avais pas ressentie dans les deux tomes précédents.
Tout en enchaînant des combats toujours aussi spectaculaires, certains personnages vont faire preuve d'une remise en cause profonde. Ils vont chercher à faire leur mea-culpa, à recouvrer leur part d'humanité. Je décèle parfois une certaine mélancolie qui n'aura pour but que de trouver (ou retrouver) une sérénité salvatrice, les libérant ainsi de tous leurs remords et leurs regrets.
Des personnages qui sont donc en grande souffrance mais qui trouveront la force de combattre grâce à quelqu'un ou quelque chose, un peu comme un hommage, comme une volonté d'honorer ce à quoi ils se réfèrent.
Et puis, Cyril Vial arrive à générer chez moi une empathie profonde pour ce tueur à gages dont nous allons faire la connaissance, et ce malgré toutes les horreurs qu'il a perpétrées. C'est fort, n'est-ce pas !
Il y a également cette trace indélébile qu'Archibald laisse sur les personnes qu'il rencontre, je ne vous parle pas de celles qui méritent largement sa « salade de phalanges accompagnée de sa soupe à la mandale ». Non, je pense à celles et ceux qui auront droit à sa bienveillance. Un tome 3 où on peut donc se rendre compte de la portée de l'héritage d'Archibald.
Au final, c'est encore une excellente lecture et je dirais que ce tome me semble être celui de la rédemption mais aussi de la renaissance.
Dans ce troisième tome, l'auteur développe une profondeur sentimentale humaine très marquante .
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Je suis très heureuse de retrouver ces personnages que j'aime beaucoup et avec lesquels je partage plein de choses, au fur et à mesure des tomes.
L'auteur n'a pas son égal pour vous proposer des êtres attachants et inoubliables. Peut-être que cette trilogie pourrait en rebuter plus d'un car vous auriez l'impression d'enchainer les histoires en n'ayant plus aucune surprise. Mais ça n'est pas le cas et ce tome 3 s'avère diffèrent sur plusieurs points.
En effet, j'ai eu l'impression de trouver cette fois une autre dimension sentimentale, une profondeur humaine que je n'avais pas ressentie dans les deux tomes précédents.
Tout en enchaînant des combats toujours aussi spectaculaires, certains personnages vont faire preuve d'une remise en cause profonde. Ils vont chercher à faire leur mea-culpa, à recouvrer leur part d'humanité. Je décèle parfois une certaine mélancolie qui n'aura pour but que de trouver (ou retrouver) une sérénité salvatrice, les libérant ainsi de tous leurs remords et leurs regrets.
Des personnages qui sont donc en grande souffrance mais qui trouveront la force de combattre grâce à quelqu'un ou quelque chose, un peu comme un hommage, comme une volonté d'honorer ce à quoi ils se réfèrent.
Et puis, Cyril Vial arrive à générer chez moi une empathie profonde pour ce tueur à gages dont nous allons faire la connaissance, et ce malgré toutes les horreurs qu'il a perpétrées. C'est fort, n'est-ce pas !
Il y a également cette trace indélébile qu'Archibald laisse sur les personnes qu'il rencontre, je ne vous parle pas de celles qui méritent largement sa « salade de phalanges accompagnée de sa soupe à la mandale ». Non, je pense à celles et ceux qui auront droit à sa bienveillance. Un tome 3 où on peut donc se rendre compte de la portée de l'héritage d'Archibald.
Au final, c'est encore une excellente lecture et je dirais que ce tome me semble être celui de la rédemption mais aussi de la renaissance.
