Ce receuil de chroniques- ces fameuses chroniques de
Vialatte dont parlait Desproges, et dont Transparaissent les influences dans ses propres chroniques- paru en 1986, porte un titre énigmatique.
Qu'est ce que cette porte de Bath-Rabbim?
Dans sa préface,
Ferny Besson, amie intime de
Vialatte nous éclaire :
"Cette énigmatique porte de Bath-Rabbim a obsédé
Vialatte sa vie durant. Pour lui, ceux qui la passent sont les poètes, les créateurs..."
Vialatte parlait merveilleusement des créateurs dans ses chroniques : écrivains, dramaturges, peintres, cinéastes et parfois quidam touché par la grâce...!
Vialatte lui même était touché par la grâce, son écriture a quelque chose d'enchanté et d'enchanteur, tant -et je cite à nouveau Besson : "L'émerveillement est le clef de tout ce qui intéresse ou émeut
Alexandre Vialatte. L'emerveillement est la clef de tout ce qu'il écrit."
Je l'ai déjà écrit, mais je ne crains pas de le répéter : Partagez l'émerveillement, passez la porte de Bath-Rabbim : Lisez
Vialatte !
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