- Et vous avez donc ouvert la porte à des individus cagoulés. Cela ne vous a pas semblé bizarre que des policiers soient cagoulés comme ça ?
- Non, pas vraiment. Je viens d'Algérie. Là-bas, avec le terrorisme, on ne s'étonne pas que des policiers portent des cagoules, vous savez.
Ils m'ont volé ma bague de mariage, deux bracelets tout en diamants Cartier, deux paires de boucles d'oreille tout en or et diamants Lorraine, Schwartz et Yanima, un collier tout en or et diamants Jacob, trois colliers tout en or Jacob, des petits bracelets, des bijoux, des bagues, un collier Lorraine Schwartz tout en diamants, six colliers fins ras-du-cou en diamants. Ils m'ont volé un iPhone 6, aussi un diamant en forme de croix Jacob, une montre Rolex tout en or, et deux en or jaune, et un dernier collier avec le nom de mon fils.
J'ai toujours soutenu la France qui se lève tôt, celle qui travaille dur.
Je crois que vous cherchez quelqu'un qui chausse du 41 et vous ramenez tous les gens qui chaussent du 41. Maintenant faut trouver quelqu'un qui chausse du 41. Mais, serré ou trop grand, ça rentre toujours.
Ce matin, quand j'ai été informé par les journaux, j'ai envoyé à Kim Kardashian un message avec une revue de presse. Elle m'a répondu dans la journée en disant qu'elle était épatée par le travail de la police française et qu'elle félicitait tout le monde.
Depuis que je suis petit, mon père est dans les affaires. Il ne m'a jamais expliqué ce qu'il faisait. Les seules fois où j'ai été au courant de ses affaires, c'est quand il était arrêté. Quand elles devenaient médiatiques.
J'ai créché pas très loin, au Mont-Mesly. C'était des bonnes années. À l'époque on jouait au foot tous ensemble : les blacks, les reubeus, les gaulois. C'était moins chacun pour soi, mais le Vivre ensemble, comme on dit aujourd'hui. Y avait pas tous ces ghettos. Tout ça, c'est fini.
Il faut voir à quelle époque on vit, on ne peut pas étaler sa richesse et ensuite être surpris que des gens veuillent la partager. - Karl Lagerfeld
J'étais en train de manger une glace quand j'ai vu surgir Kim Kardashian. Je voulais dénoncer les implants fessiers de Kim. - Vitali Sediuk
— N'empêche, autant de moyens pour une starlette qui a pas pris ses précautions pour se protéger... c'est un peu too much, tout ça ?
— Arrête ! C'est une super enquête.
— Oui, mais je me demande ce que ça aurait donné si c'était une vieille dame que s'était fait dépouiller de sa boîte à bijoux.
— Ah, ça, c'est sûr... si c'était mamie Tromblon qui s'était fait braquer, elle aurait pas eu les faveurs de Lagerfeld ou de Kassovitz pour lui saper le moral.