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Critique de Ianilecteur
L'humour est caustique, mordant, sans beaucoup d'illusion sur la personne humaine, ses bassesses, ses compromissions, ses « altérations »…
Il y a un petit côté Simenon dans certaines histoires, telle « Copain comme cochon ». Il y a un petit côté « conte » avec « le visiteur du soir », un petit côté thriller avec « Piqûre de rappel ». Il y a un petit côté « Message » avec « Entre chien et loup », un petit côté dystopie avec « Faits d'hiver »....
Vous l'avez compris, la palette offerte par l'auteur est large. D'où le paradoxe ; tout le monde n'aimera pas forcément mais chacun y trouvera son compte. C'est sans doute là tout lard (pardon, il fallait que je la sorte --- d'accord, d'accord, je voulais dire « l'art ») --- de l'auteur de nous emmener dans ses « Noirs Territoires ». Il est très fort dans lard l'art (décidément) du suspens, de l'intrigue du retournement. J'ai trouvé pour ma part très savoureuse la complicité créée avec l'auteur dans « le personnage ».
N'oublions pas les illustrations étonnantes du peintre aérographe JJ Vitiello qui, en soi, racontent une histoire parallèle, tout en épousant l'outre-monde le monde de l'auteur.
Je serais curieux de vous découvrir avec un roman, Pierre-J Villard. Par exemple un « noir polar ». Quand nous le proposez-vous ?
Il y a un petit côté Simenon dans certaines histoires, telle « Copain comme cochon ». Il y a un petit côté « conte » avec « le visiteur du soir », un petit côté thriller avec « Piqûre de rappel ». Il y a un petit côté « Message » avec « Entre chien et loup », un petit côté dystopie avec « Faits d'hiver »....
Vous l'avez compris, la palette offerte par l'auteur est large. D'où le paradoxe ; tout le monde n'aimera pas forcément mais chacun y trouvera son compte. C'est sans doute là tout lard (pardon, il fallait que je la sorte --- d'accord, d'accord, je voulais dire « l'art ») --- de l'auteur de nous emmener dans ses « Noirs Territoires ». Il est très fort dans lard l'art (décidément) du suspens, de l'intrigue du retournement. J'ai trouvé pour ma part très savoureuse la complicité créée avec l'auteur dans « le personnage ».
N'oublions pas les illustrations étonnantes du peintre aérographe JJ Vitiello qui, en soi, racontent une histoire parallèle, tout en épousant l'outre-monde le monde de l'auteur.
Je serais curieux de vous découvrir avec un roman, Pierre-J Villard. Par exemple un « noir polar ». Quand nous le proposez-vous ?
