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Critique de orbe
La famille de VanZan part, comme chaque année, en vacances en Bretagne chez les grands-parents.
Un accident amène la jeune narratrice MadoLoup à l'hôpital. Lorsqu'ils rentrent enfin chez eux, rien n'est plus comme avant.
Le VZ, un terrible virus, s'est propagé, rendant les oiseaux agressifs et transformant les hommes victimes de morsures en zombies. Les enfants se barricadent pendant que leurs adultes partent à la recherche des grands-parents...
Un roman déjanté où l'auteur nous offre de plonger, de biais, dans son univers personnel et livresque. On y retrouve les saignements de nez liés à la métamorphose en animal mais aussi l'intérêt pour les actions de groupe.
Le microcosme est lié par les rituels et les jeux de mots. Chacun a une place précise, définit au début du récit. le patriarche mène encore une fois la danse, rendue possible par un mélange de chansons paillardes et de références puisées dans les classiques.
Une fois encore, l'injonction est faite au lecteur de S'AMUSER ! Rien n'est vrai, tout est vrai. La peur de la grippe aviaire est le prétexte trouvé pour déployer des jeux autour de la survie.
La jeune cousine est à peine tolérée car elle n'a pas les bons codes. A la manière de Kho Lanta, le groupe vote pour les décisions importantes sans que le résultat de ce moment participatif soit forcément "logique".
Pour survivre, il faut s'allier, se parler, se connaître, partager...Chacun doit gagner sa liberté en respectant l'identité des membres du clan.
Un livre bonne humeur avec une bonne dose de sang, à déguster à l'apéritif
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
Un accident amène la jeune narratrice MadoLoup à l'hôpital. Lorsqu'ils rentrent enfin chez eux, rien n'est plus comme avant.
Le VZ, un terrible virus, s'est propagé, rendant les oiseaux agressifs et transformant les hommes victimes de morsures en zombies. Les enfants se barricadent pendant que leurs adultes partent à la recherche des grands-parents...
Un roman déjanté où l'auteur nous offre de plonger, de biais, dans son univers personnel et livresque. On y retrouve les saignements de nez liés à la métamorphose en animal mais aussi l'intérêt pour les actions de groupe.
Le microcosme est lié par les rituels et les jeux de mots. Chacun a une place précise, définit au début du récit. le patriarche mène encore une fois la danse, rendue possible par un mélange de chansons paillardes et de références puisées dans les classiques.
Une fois encore, l'injonction est faite au lecteur de S'AMUSER ! Rien n'est vrai, tout est vrai. La peur de la grippe aviaire est le prétexte trouvé pour déployer des jeux autour de la survie.
La jeune cousine est à peine tolérée car elle n'a pas les bons codes. A la manière de Kho Lanta, le groupe vote pour les décisions importantes sans que le résultat de ce moment participatif soit forcément "logique".
Pour survivre, il faut s'allier, se parler, se connaître, partager...Chacun doit gagner sa liberté en respectant l'identité des membres du clan.
Un livre bonne humeur avec une bonne dose de sang, à déguster à l'apéritif
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
