Non je ne noterai pas ce livre.
A l'instar des livres de
Martin Gray,
Primo Levi ou
Imre Kertész comment "noter" cette part sombre de l'histoire de l'humanité?
Car chacun de ces livres représente un pan de notre histoire. Ça n'est pas "encore" un livre sur la Shoah, ce sont des destins tragiques, des vies supprimées. Il se complètent, ils sont la petites lumière qui survie là où tant se sont éteints.
Ce sont ici les Juifs-Hongrois (parmi d'autres), mais qu'ils soient de Hongrie, de Pologne, de France ou d'ailleurs, leur histoire DOIT être connue.
Qu'on adhère ou non au style d'écriture, qu'importe les répétition, qu'importe le pardon ou non, ces livres doivent être lus, relus, débattus, échangés, prêtés, donnés, partagés.
Il faut que ces livres vivent pour que le souvenir des disparus survive.
Pour que les "faussaires de l'histoire" n'aient pas de tribunes et que les crimes des fossoyeurs de l'humanité ne soient pas banalisés.
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