A travers un assemblage d'interruptats sans queue mais pas sans tête,
Antoine Volodine (alias
Lutz Bassmann) poursuit l'exploration du monde soviétique post-apocalyptique et onirique, pas vraiment dans la vie et pas vraiment dans la mort, qu'il construit depuis plusieurs années.
Chaque histoire nous laisse sur notre fin, nous abandonne alors que quelque chose va se produire. Au début ça agace, et puis on se laisse engloutir. On finit immergés dans cet univers poétique, et à la fin il faut bien reconnaître que
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