Lu il y a une vingtaine d'années, j'en garde un excellent souvenir.
Je ne suis toujours pas allé à Barcelone, mais au moins j'ai pris goût à la cuisine espagnole/catalane.
" Ici, le détective - transfuge du PC et de la CIA ! - vit le tourbillon d'une aventure politico-policière avec le tendre cynisme d'un aventurier gastronome et sentimental. (...) Courageux, pas téméraire, intelligent comme Poirot, stylé comme Marlowe, désinvolte comme Rainer, il choisira de ressembler tout simplement à Carvalho : dans sa recherche de l'assassin, il n'oubliera jamais que, s'il faut manger pour vivre, il faut aussi cuisiner pour survivre, surtout lorsque l'Espagne romanesque de Montalban, secouée par le meurtre du secrétaire général du PCE, se met trop à ressembler à l'Espagne tout court. "
Dixit
Michèle Gazier, traductrice
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