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Critique de JML38
Une soirée entre voisins, c'est sympa. Mais pour un dernier repas avant la fin du monde, ça l'est déjà moins, l'ambiance risquant d'être un peu plombée. Mathilde l'organisatrice en chef souhaite toutefois que tout se passe dans « l'allégresse ». C'est compter sans les personnalités très diverses des sept personnes qui forment le groupe pour cette ultime soirée, dont les âges couvrent presque toutes les générations, et dont les travers et petites ou grosses rancoeurs ressortent de façon exacerbée en ces circonstances particulières.
Un huitième convive s'invite. Tous ont l'impression de le connaître, sans toutefois se rappeler qui il est et où ils ont pu le rencontrer. SDF qui cherche de la compagnie pour les uns, le Seigneur en personne pour d'autres dont la très bigote Mathilde.
Avec son regard d'étranger à la petite communauté et un certain sens de l'observation des comportements humains, il tient le rôle de modérateur ou de catalyseur suivant les moments.
Menée sur un rythme soutenu, cette comédie grinçante aborde des sujets de société comme l'homosexualité, la vieillesse, la solitude, l'amour, l'intolérance, n'oubliant pas la religion au passage, ce qui ne semble pas illogique à l'approche de l'instant fatidique.
Des dialogues savoureux donnent vraiment envie de découvrir cette pièce sur scène.
Reçu dans le cadre d'une masse critique. Merci à Babelio et aux Éditions Souffles Littéraires.
Un huitième convive s'invite. Tous ont l'impression de le connaître, sans toutefois se rappeler qui il est et où ils ont pu le rencontrer. SDF qui cherche de la compagnie pour les uns, le Seigneur en personne pour d'autres dont la très bigote Mathilde.
Avec son regard d'étranger à la petite communauté et un certain sens de l'observation des comportements humains, il tient le rôle de modérateur ou de catalyseur suivant les moments.
Menée sur un rythme soutenu, cette comédie grinçante aborde des sujets de société comme l'homosexualité, la vieillesse, la solitude, l'amour, l'intolérance, n'oubliant pas la religion au passage, ce qui ne semble pas illogique à l'approche de l'instant fatidique.
Des dialogues savoureux donnent vraiment envie de découvrir cette pièce sur scène.
Reçu dans le cadre d'une masse critique. Merci à Babelio et aux Éditions Souffles Littéraires.
