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Critique de MinervaEmerson
Alfred est un sacré petit bout de prince qui nous entraîne, à un rythme effréné, dans un monde post-apocalyptique déjanté où le courage et l'amour se révèlent, une fois encore, la solution miracle.
La Bête de Buckingham Palace est un bel hommage de l'auteur à son pays.
Le roman est truffé de clins d'oeil et d'anecdotes sur l'histoire de l'Angleterre mais n'en reste pas moins une comédie complètement loufoque comme Walliams sait le faire, même si dans celle-ci, on est face à des évènements assez sombres puisque la mort est présente tout au long des pages.
J'ai moyennement apprécié les onomatopées systématiques. Je n'avais lu que 'Le Gang de minuit" et je n'avais pas le souvenir d'une telle "invasion" mais peut-être qu'elles sont aussi présentes dans les autres titres...
À noter, évidemment, les illustrations de Tony Ross qui accompagnent magnifiquement le texte de Walliams et complètent à merveille l'histoire.
La Bête de Buckingham Palace est un bel hommage de l'auteur à son pays.
Le roman est truffé de clins d'oeil et d'anecdotes sur l'histoire de l'Angleterre mais n'en reste pas moins une comédie complètement loufoque comme Walliams sait le faire, même si dans celle-ci, on est face à des évènements assez sombres puisque la mort est présente tout au long des pages.
J'ai moyennement apprécié les onomatopées systématiques. Je n'avais lu que 'Le Gang de minuit" et je n'avais pas le souvenir d'une telle "invasion" mais peut-être qu'elles sont aussi présentes dans les autres titres...
À noter, évidemment, les illustrations de Tony Ross qui accompagnent magnifiquement le texte de Walliams et complètent à merveille l'histoire.
