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Critique de bdelhausse
Avec Mittéi et Laudec, Walthéry remet le couvert de l'évocation du passé commun de Natacha et Walter. La grand-mère de la première et le grand-père du second se sont connus, déjà à la BARDAF.
Au terme des deux ans d'isolement sur leur île déserte, les "deux collègues et néanmoins amis" se retrouvent dans un café. Et si Natacha accepte une bière (dingue, non?), elle passe vite au café pendant que Walter se murge totalement en évoquant son aïeul qui n'était pas en reste non plus. Walthéry essaie-t-il de nous dire que l'alcoolisme est héréditaire... je blague. N'allons pas chercher trop loin. Les scènes de café et celles du pari proprement dit sont fort comiques. On sent que Walthéry possède bien la vie nocturne de Liège, ma ville natale, située à deux pas de son petit chez lui.
Pour l'anecdote, on a le bas de la rue Saint-Gilles, que je connais fort bien... j'y ai vécu. Si on poursuit dans l'anecdote, on aura reconnu Louis de Funès en patron de la BARDAF (période "grand-père").
Revenons-en à ce stupide pari. On n'est pas loin du pléonasme, un pari alcoolisé est -par définition- stupide. le grand-père de Walter se fait virer pour avoir fait un looping avec un avion avec les passagers à bord. Désespéré il lance un pari: faire le tour du monde en 40 jours. Mais, hasar ou réalité scientifique?, il embarque la grand-mère de Natacha...
C'est l'occasion pour Walthéry de se faire plaisir en multipliant les références au gré des haltes de l'avion pour faire le plein. On a encore un peu de wallon (langue que Walthéry maîtrise fort bien) chez les jivaros... et des scènes archi-connues comme défilé dans les rues de New York en limousine décapotable avec la pluie de papiers "qui va bien avec".
Au final, une BD d'aventure jeunesse qui nous fait passer un bon moment et où la bonne humeur de Walthéry se communique au lecteur.
Au terme des deux ans d'isolement sur leur île déserte, les "deux collègues et néanmoins amis" se retrouvent dans un café. Et si Natacha accepte une bière (dingue, non?), elle passe vite au café pendant que Walter se murge totalement en évoquant son aïeul qui n'était pas en reste non plus. Walthéry essaie-t-il de nous dire que l'alcoolisme est héréditaire... je blague. N'allons pas chercher trop loin. Les scènes de café et celles du pari proprement dit sont fort comiques. On sent que Walthéry possède bien la vie nocturne de Liège, ma ville natale, située à deux pas de son petit chez lui.
Pour l'anecdote, on a le bas de la rue Saint-Gilles, que je connais fort bien... j'y ai vécu. Si on poursuit dans l'anecdote, on aura reconnu Louis de Funès en patron de la BARDAF (période "grand-père").
Revenons-en à ce stupide pari. On n'est pas loin du pléonasme, un pari alcoolisé est -par définition- stupide. le grand-père de Walter se fait virer pour avoir fait un looping avec un avion avec les passagers à bord. Désespéré il lance un pari: faire le tour du monde en 40 jours. Mais, hasar ou réalité scientifique?, il embarque la grand-mère de Natacha...
C'est l'occasion pour Walthéry de se faire plaisir en multipliant les références au gré des haltes de l'avion pour faire le plein. On a encore un peu de wallon (langue que Walthéry maîtrise fort bien) chez les jivaros... et des scènes archi-connues comme défilé dans les rues de New York en limousine décapotable avec la pluie de papiers "qui va bien avec".
Au final, une BD d'aventure jeunesse qui nous fait passer un bon moment et où la bonne humeur de Walthéry se communique au lecteur.
