Citations sur La confrérie de la dague noire, tome 3 : L'amant furieux (66)
«Les diamants étaient éternels» à ce qu’on disait. Ils dureraient à jamais. Tout comme les souvenirs qu’il avait d’elle.
Il regarda autour de lui avec l’envie soudaine de mettre le feu à la ferme, de tout réduire en cendres pour que personne d’autre ne puisse l’avoir.
Ce serait plus facile que de ne jamais revenir ici.
L’ennui était que détruire cet endroit était en quelque sorte lui nuire à elle.
On a accouru en entendant ton crâne cogner par terre. Tape m'en cinq, papounet. Est-ce que je pourrai lui apprendre à se battre, au petit monstre ?
La vie pouvait parfois basculer sur un rien. En l'espace d'une nanoseconde. Ou d'un coup frappé à la porte.
Tu es dans une prison sans barreaux.
Fhurie ne répondit rien. Z jeta donc un nouveau coup d’œil, à l'instant même où une larme dégoulina le long de la joue de son frère.
- Oh... merde.
- Ouais. Comme tu dis.
Une autre larme s'écoula de l’œil de Fhurie.
- Putain... J'ai des fuites.
Il n'accepterait rien venant d'elle, ni son sang ni son amour... Peu de chances qu'il en aille autrement avec sa compassion. Il ne voulait rien d'elle, rien.
Putain, quelle poule mouillée ! Avoir peur de sa propre... bite ? queue ? pénis ? Comment était-il censé l'appeler ? Comment les mâles normaux appelaient-ils leur sexe ? Certes, Georges n'était pas une option.
Une seule et unique nuit.