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Critique de Duzbo
J'avais repéré ce livre dès sa sortie, attirée par son titre, le résumé et sa couverture. Malheureusement je finis cette lecture déçue...
Laura Blacklock, jeune journaliste, vit l'expérience traumatisante d'être cambriolée alors qu'elle se trouve dans son appartement. Déjà sujette à des crises d'angoisse depuis l'adolescence, elle ne se trouve que plus fragilisée par cet événement. Lorsque sa responsable, en congé maternité, lui propose de la remplacer pour couvrir le voyage inaugural d'un yacht de croisière, dans une ambiance mondaine, Laura y voit un bon moyen d'avoir non seulement un coup de pouce dans sa carrière, tout en se changeant les idées. Seulement dès la première nuit, rien ne se passe comme prévu lorsqu'elle est persuadée qu'une jeune femme a été jetée à la mer de la cabine n°10, voisine à la sienne. Pourtant il ne manque aucun passager à bord...
Un huis clos donc, puisque tout se passe dans l'espace restreint du bateau, en compagnie d'un petit nombre de passagers. Un contexte qui normalement est propice à la tension mais où je n'y ai ressenti que de l'ennui... L'action est lente, il ne se passe finalement pas grand chose, si ce n'est Laura qui est de plus en plus sujette à des crises de panique et croit devenir folle... Heureusement, mon intérêt a été relancé dans les 100 dernières pages, mais cela n'a pas rattrapé la déception que je ressens pour l'ensemble de ce roman que j'étais impatiente de lire.
Laura Blacklock, jeune journaliste, vit l'expérience traumatisante d'être cambriolée alors qu'elle se trouve dans son appartement. Déjà sujette à des crises d'angoisse depuis l'adolescence, elle ne se trouve que plus fragilisée par cet événement. Lorsque sa responsable, en congé maternité, lui propose de la remplacer pour couvrir le voyage inaugural d'un yacht de croisière, dans une ambiance mondaine, Laura y voit un bon moyen d'avoir non seulement un coup de pouce dans sa carrière, tout en se changeant les idées. Seulement dès la première nuit, rien ne se passe comme prévu lorsqu'elle est persuadée qu'une jeune femme a été jetée à la mer de la cabine n°10, voisine à la sienne. Pourtant il ne manque aucun passager à bord...
Un huis clos donc, puisque tout se passe dans l'espace restreint du bateau, en compagnie d'un petit nombre de passagers. Un contexte qui normalement est propice à la tension mais où je n'y ai ressenti que de l'ennui... L'action est lente, il ne se passe finalement pas grand chose, si ce n'est Laura qui est de plus en plus sujette à des crises de panique et croit devenir folle... Heureusement, mon intérêt a été relancé dans les 100 dernières pages, mais cela n'a pas rattrapé la déception que je ressens pour l'ensemble de ce roman que j'étais impatiente de lire.
