Tout d'abord, merci à City éditions pour ce service-presse.
Après un prologue, l'histoire débute avec Iris qui passe un casting pour un film. Iris, qui travaille comme téléopératrice,
mais aspire à devenir une grande star de cinéma. On apprend qu'il y a quelques années elle a vécu un drame avec la disparition de son amie,
Rose Treymin ! Depuis ce drame, la jeune femme souffre du syndrome du survivant.
(définition : La culpabilité du survivant, ou syndrome du survivant, ou encore syndrome de culpabilité du survivant,
est un syndrome douloureusement ressenti par les personnes qui ont survécu à un accident ou à un massacre alors que d'autres sont morts.)
Vient le personnage de Romain Delarive, auteur à succès. Tous deux viennent à se revoir, car l'homme désire écrire un futur roman
sur « L'affaire Rose Treymin ». Il faut savoir qu'à l'époque, le jeune homme était éducateur au « haras van teslaar »
où les filles passent leurs vacances. Alex Soubeyrand, flic devenu romancier, se voit proposer par Serge Jensen,
patron de Zéphir éditions, de reprendre le roman, car Romain Delarive souhaite abandonner le roman.
Il finit par accepter et récupère les notes de Delarive. La nuit, Iris est victime de ses cauchemars
qui la poursuivent. Là où elle devient Rose, prisonnière d'un psychopathe. le père de Rose, Jean Treymin,
n'a eu de cesse de la chercher depuis le jour du drame. Mais il a malheureusement fait chou blanc.
Alors, va-t-il enfin avoir de la chance ?! Est-ce que la SDF, vue à Stockholm, pourrait être Rose,
disparue il y a quinze ans dans la région parisienne ? La ressemblance est frappante.
Nous faisons aussi la connaissance d'Anne Laveli, policière et responsable de la CRMD
(cellule de recherche des mineurs disparue), qui se joint à l'enquête.
Les personnages s'alternent pour arriver enfin au dénouement.
J'étais curieuse de lire ce roman, car je voulais savoir ce qu'il était arrivé à Rose.
Un roman psychologique, mais avec quelques longueurs donc la fin me laisse un avis mitigé.
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