J'aurais bien aimé que le livre soit comme son premier chapitre, qui était très encourageant, presque aussi bien rôdé que le premier tome. Mais je n'ai pas eu cette chance. Impossible d'accrocher sur le thème de la maternité vue par un personnage encore plus névrosé et parano que dans le précédent opus, qui se laisse marcher dessus, et se demande comment les choses peuvent bien lui arriver ainsi sur le coin de la caboche, alors que ça se voyait comme un nez au milieu de la figure. Et l'amour toujours, je vous rassure, on s'en doutait aussi, puisqu'elle ne parle que de lui.
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