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Critique de majero


Malgré l'évocation des rêves et des dieux qui me rappelaient l'Odyssée, je n'ai pas réussi à accrocher à cette histoire, de bons indiens Pikunis partant voler les chevaux des Corbeaux, de Chien de l'Homme Blanc qui épouse Peinture Rouge, de mauvais blancs Napikwans qui ne respectent pas leurs engagements, de la bande d'Enfant Hibou provoquant les Napikwans et exposant son peuple aux représailles, de maladie des croûtes blanches qui décime les villages...

L'auteur s'ingénie aussi un peu trop à compliquer le vocabulaire : 'Et quand Oiseau Corbeau a regardé dans la presque-nuit, il a vu qu'il s'agissait d'un quatre-jambes, plus petit qu'un bouche-collante mais avec des pattes plus longues et un pelage plus épais que le plus vieux des mordeurs-de-bois'
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