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Critique de gomettewoman
#Le dernier été, premier roman de @Benedict Wells, nous entraîne dans les années 90 avec comme personnage principal Beck, professeur désabusé. J'ai au début aimé son côté looser. Il entretient une histoire tumultueuse et douloureuse avec la musique et tente de revenir en grâce au travers de Rauli, un élève virtuose qu'il essaie de faire "percer". S'y superposent une histoire d'amitié avec Charlie, son ami de toujours et une histoire d'amour avec Lara, une fille qui ne lui convient a priori pas.
L'écriture de @Benedict Wells est au rendez-vous, bien que moins aboutie que dans #La fin de la solitude. Mais soyons indulgent il s'agit d'un premier roman !
Je n'ai malheureusement pas accroché avec l'histoire, ou plus précisément pas adhéré aux multiples rebondissements en tout genre, qui pour moi n'apportent pas grand chose à l'histoire et donnent au roman au côté loufoque. L'intention est présente mais il y a des longueurs qui ne m'ont pas permis de rentrer dans les personnages qui finissent parfois par devenir un peu exaspérants..
Une déception donc, mais j'attends tout de même avec impatience le troisième ouvrage de Monsieur Wells !
L'écriture de @Benedict Wells est au rendez-vous, bien que moins aboutie que dans #La fin de la solitude. Mais soyons indulgent il s'agit d'un premier roman !
Je n'ai malheureusement pas accroché avec l'histoire, ou plus précisément pas adhéré aux multiples rebondissements en tout genre, qui pour moi n'apportent pas grand chose à l'histoire et donnent au roman au côté loufoque. L'intention est présente mais il y a des longueurs qui ne m'ont pas permis de rentrer dans les personnages qui finissent parfois par devenir un peu exaspérants..
Une déception donc, mais j'attends tout de même avec impatience le troisième ouvrage de Monsieur Wells !
