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Critique de Tristale
Lire un livre de Bernard Werber c'est prendre le risque de partir en des temps improbables avec une vision très large de ce qui pourrait être un jour.
N'oublions pas ici qu'il s'agit d'une fiction, et parfois elle s'éloigne beaucoup de la réalité, jusqu'à paraître surréaliste voire saugrenue. Mais je le répète c'est un roman et non un documentaire donc tout n'est pas à prendre au premier degré bien évidemment.
Ceci étant dit, j'ai beaucoup apprécié ma lecture car l'auteur y a mis aussi beaucoup de ce qu'il connaît sur ses contemporains et ça n'est pas vraiment réjouissant. Notre futur imaginaire n'a rien d'idyllique à bien des égards mais l'idée de base des chimères part d'un bon sentiment, la survie de l'humanité quelle que soit les catastrophes qui pourraient subvenir.
Seulement Alice, la scientifique qui crée ces chimères n'a pas pensé que les côtés les pires des humains prendraient le pas sur tout le reste, à savoir la soif de pouvoir, le besoin de domination et le sentiment de supériorité.
Alors espérer le meilleur est-il vain?
Peut-être pas car le salut viendra de la 4eme chimère, représentant l'élément feu et avec une particularité surprenante. Les 3 autres chimères, air, terre et eau ainsi que ce qui reste des sapiens ( les humains) finiront alors de s'affronter et pourront vivre en harmonie.
Une dystopie qui tient la route malgré quelques libertés prises sur la réalité . Mais après tout, dans une fiction tout est possible non?
N'oublions pas ici qu'il s'agit d'une fiction, et parfois elle s'éloigne beaucoup de la réalité, jusqu'à paraître surréaliste voire saugrenue. Mais je le répète c'est un roman et non un documentaire donc tout n'est pas à prendre au premier degré bien évidemment.
Ceci étant dit, j'ai beaucoup apprécié ma lecture car l'auteur y a mis aussi beaucoup de ce qu'il connaît sur ses contemporains et ça n'est pas vraiment réjouissant. Notre futur imaginaire n'a rien d'idyllique à bien des égards mais l'idée de base des chimères part d'un bon sentiment, la survie de l'humanité quelle que soit les catastrophes qui pourraient subvenir.
Seulement Alice, la scientifique qui crée ces chimères n'a pas pensé que les côtés les pires des humains prendraient le pas sur tout le reste, à savoir la soif de pouvoir, le besoin de domination et le sentiment de supériorité.
Alors espérer le meilleur est-il vain?
Peut-être pas car le salut viendra de la 4eme chimère, représentant l'élément feu et avec une particularité surprenante. Les 3 autres chimères, air, terre et eau ainsi que ce qui reste des sapiens ( les humains) finiront alors de s'affronter et pourront vivre en harmonie.
Une dystopie qui tient la route malgré quelques libertés prises sur la réalité . Mais après tout, dans une fiction tout est possible non?
