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Critique de Davpunk


Si l'écriture de Bernard Werber peut, semble t'il, lasser sur le long terme, j'ai redécouvert Les Fourmis avant de m'attaquer aux suites…

Edmond Wells est mort. Jonathan, sa femme Lucie et leur fils Nicolas hérite de sa maison. Une porte méne à la cave et il lui est interdit d'y entrer. Bien sûr, il va y aller et, un jour, ne plus jamais remonter…

En paralléle, les fourmis s'éveillent dans la fourmilière, sortent dehors mais un bataillon entier est abattu sans qu'on sache comment, et sans avoir eu le temps de réagir. la seule survivante va chercher à comprendre ce qui a pu les surprendre…

Et bien entendu, il y a un moment où les deux mondes vont se rencontrer, à la fin du livre. le reste est franchement trés agréable à lire et la seule déception vient de passages, descriptions scientifique qui sortent le lecteur, de l'histoire et c'est bien dommage. Car pour le reste, les deux histoires sont passionnantes, l'écriture simple et le travail effectué pour coller au mieux à la réalité, impressionnant. Même les encarts se rapportant aux recherches de Edmond Wells sont intéressants. Un excellent livre qui ne donne qu'une envie : lire les suites !
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