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Critique de JulieGorsky


Cette semaine, direction la forêt de Fontainebleau pour découvrir la cultissime Trilogie des Fourmis et son premier tome : Les Fourmis paru en France en 1991 aux éditions Albin Michel. Une philosophie fiction au coeur des fourmilières.

Le livre s'ouvre au 3, rue des Sybarites. Jonathan Wells, sa femme Lucie et leur fils Nicolas s'installent dans leur nouvelle demeure, un héritage laissé par l'oncle Edmond. En plus de cet appartement, l'oncle Edmond a laissé une enveloppe contenant un feuillet froissé avec comme seule inscription : « Surtout ne jamais aller à la cave ! ». Débute alors le grand mystère autour de la cave du 3, rue des Sybarites.
En parallèle, nous découvrons Bel-O-Kan, la plus grande ville de la région et ses 18 millions d'habitants. Peuplée de ces insectes sociaux, Bel-O-Kan se réveille petit à petit de la période d'hibernation.

Après avoir dévoré la trilogie « Troisième Humanité », il me tardait de découvrir le plus gros succès de Bernard Werber au plus de 20 millions d'exemplaires vendus. Malheureusement, je n'ai pas accroché à l'histoire et à l'intrigue. Pourtant, tout semblait réuni pour me plaire : un roman composé de deux univers parallèles : celui des humains et ce mystère autour de la cave et celui des fourmis avec la vie d'une soldate et celle d'une nouvelle reine. Je ne sais pas pourquoi je n'ai pas réussi à entrer dans ce roman : le héros, Jonathan Wells n'a pas attiré ma sympathie, j'ai trouvé qu'il y avait trop de longueurs. L'alternance entre l'histoire des deux univers m'a un peu perdue. Peut-être que je devrais relire ce roman dans quelques années et mon point de vue sera différent. Une critique à réécrire dans un « temps relatif et non absolu ».

Même si ce roman n'est pas un coup de coeur, j'ai apprécié beaucoup d'aspects du roman. J'ai adoré les passages de l'Encyclopédie du savoir relatif et absolu d'Edmond Wells. Ces passages sont toujours une source de connaissances qui tombent toujours au bon moment. D'ailleurs, j'ai apprécié en apprendre davantage sur ces insectes qui ne sont finalement pas si différents de nous, les humains. Que dire de l'énigme des allumettes ? Elle est peut-être la raison pour laquelle je n'ai pas accroché à ce roman. Bien trop occupée à réfléchir à l'énigme, je n'ai pas saisi la subtilité de ce roman. J'ai d'ailleurs apprécié me triturer les méninges pour percer cette énigme. Je reconnais le talent de l'auteur et l'originalité de ses thèmes et la façon dont il les aborde. C'est un livre très intéressant et très instructif, mais j'aurais apprécié que l'intrigue des humains soit un peu plus présente. Bon après tout… le roman se nomme les fourmis et non les humains.
Lien : https://juliegorsky.wordpres..
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