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Critique de Sandre
Je suis une Dortmundermaniaque.
J'aime les anti-héros, les petites frappes, les pieds-nickelés. Je ne pouvais que tomber sous le charme très spécial de Dortmunder quand je l'ai rencontré il y a quelques années, je ne sais plus dans quel roman d'ailleurs. Westlake en a écrit tellement, sous ce nom et sous divers pseudos : Richard Stark, Tucker Coe, Edwin West.
Dortmunder est le « héros » récurrent de nombreux de ses romans. Romans noirs humoristiques ? Ça doit être à peu près ça. C'est un bandit, spécialisé dans les cambriolages en tous genres, le cerveau de sa bande. Perfectionniste parce que pas téméraire, il aime les coups sûrs et bien ficelés. Mais il s'entoure de bras cassés qui font de lui un grand frustré, un râleur, pas un poil d'humour, ou alors malgré lui, un asocial.
Nous sommes nombreux à être devenus accros de l'humour si particulier des romans de Westlake.
Quand on en lit un pour la première fois, vient l'envie irrésistible de tous les lire. C'est ce que m'a confirmé une amie très déprimée, venue se réfugier chez moi pendant quelques jours. Elle m'a réclamé un bouquin un soir. Je lui ai donné un Dortmunder. Derrière la cloison qui séparait nos chambres, je l'entendais glousser...
Westlake est plus connu pour deux autres de ses romans, en dehors de la série des Dortmunder, dont un a été adapté au cinéma : le contrat et le couperet.
J'aime les anti-héros, les petites frappes, les pieds-nickelés. Je ne pouvais que tomber sous le charme très spécial de Dortmunder quand je l'ai rencontré il y a quelques années, je ne sais plus dans quel roman d'ailleurs. Westlake en a écrit tellement, sous ce nom et sous divers pseudos : Richard Stark, Tucker Coe, Edwin West.
Dortmunder est le « héros » récurrent de nombreux de ses romans. Romans noirs humoristiques ? Ça doit être à peu près ça. C'est un bandit, spécialisé dans les cambriolages en tous genres, le cerveau de sa bande. Perfectionniste parce que pas téméraire, il aime les coups sûrs et bien ficelés. Mais il s'entoure de bras cassés qui font de lui un grand frustré, un râleur, pas un poil d'humour, ou alors malgré lui, un asocial.
Nous sommes nombreux à être devenus accros de l'humour si particulier des romans de Westlake.
Quand on en lit un pour la première fois, vient l'envie irrésistible de tous les lire. C'est ce que m'a confirmé une amie très déprimée, venue se réfugier chez moi pendant quelques jours. Elle m'a réclamé un bouquin un soir. Je lui ai donné un Dortmunder. Derrière la cloison qui séparait nos chambres, je l'entendais glousser...
Westlake est plus connu pour deux autres de ses romans, en dehors de la série des Dortmunder, dont un a été adapté au cinéma : le contrat et le couperet.
