Je me permets de citer un passage de la critique rédigée par Bouteyalamer, cela traduit parfaitement mon ressenti. « le récit est trop long et se complait dans les sévices moraux et encore les blessures, infections et brûlures ».
Ou alors un passage d'une critique de Nastasia-B, alors qu'il porte sur un autre livre, un ouvrage autobiographique de Delphine de Vigan – pour moi cela colle bien : « Ici on fait tinter les trémolos du voyeurisme ordinaire ».
Parfois des scènes insoutenables, j'ai zappé, mon empathie m'a trahie. A mes yeux c'est de l'écriture thérapeutique. Son traumatisme, elle ne l'a pas vécu pendant l'enfance, mais plus tard, au moment où elle a quitté sa famille hautement toxique pour vivre une vie normale.
Je suis étonnée par la popularité de ce livre sur le réseau de lecteurs anglophones - un bestseller, un phénomène de société.
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