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Critique de Valerielle


Colorado, 1968. 12 prisonniers s'évadent de la prison d'Old Lonesome. Toute l'histoire va s'intéresser à cet événement. L'auteur va braquer son regard sur de nombreux personnages comme l'antipathique chef de la prison, Garrett et Stanley journalistes, Jim gardien très particulier, Moppar Hornet, l'un des douze prisonniers évadés.
Tout le monde se connaît ici. Les prisonniers habitaient dans la ville. Une impression de huis clos plane, accentuée par la nuit, un blizzard et une tempête de neige qui rendent la fuite et la traque quasi impossibles. Les renforts ne peuvent pas arriver et pas de radio. Quel que soit le camp, chaque vie semble morne et sans espoir… Ambiance.

Pour être tout à fait franche, j'ai abandonné ce livre à la moitié. La violence, la vulgarité, la misère, tout m'était insupportable. Un système où on saoule et on donne des amphétamines aux gardiens de prison pour qu'ils aient du coeur à l'ouvrage dans la chasse à l'homme, ça me questionne… Être une femme dans ce livre ? Ça n'est pas mieux, victime ou témoin impuissante des actes violents ou lâches des autres.
J'ai eu envie quand même de boucler ce roman et l'ai reprise. Pourtant, j'ai déjà lu ce genre d'histoire violente : j'avais veaucoup aimé Exécutions à Victory de Zahler, il y avait un vrai suspense, et il y avait un gentil pour lequel on vibrait. Dans Évasion, pas d'identification possible et on pressent dès le premier chapitre que ça finira mal… Comment ? Il faut aller au bout pour le savoir.
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