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Critique de llyza


Certains avis disaient que c'était drôle, je m'attendais à un style à la Vi Keeland mais ce n'est pas le cas, oubliez ça et vous ne serez pas déçus. Sinon j'ai beaucoup apprécié ma lecture car elle se base sur un background sur l'hôtellerie et avec un patron bourreau de travail.

Preston Parker est PDG de plusieurs chaines d'hôtelleries de luxe, c'est un bosseur, il sait ce qu'il veut et ne s'arrête jamais. Pas d'amis, ni de famille... est-ce que seulement qu'il dort ? J'aime beaucoup la dynamique comme avec Miranda dans le diable s'habille en Prada. Facile de voir Tara courir partout, préparer jusqu'à anticiper tous ses besoins.

On n'est pourtant pas dans une relation Dominant/Dominée... il la pousse hyper loin, elle arrive au point où elle est comme lui, elle n'a plus de vie. Rendez-vous annulés, plus de mec, elle ne fait que travailler alors elle commence le décompte en se disant qu'elle part dans les 6 mois. Ce décompte joue beaucoup dans le rythme de lecture car on s'y accroche comme elle. Enfin, elle pourra être libérée de son connard de patron qu'elle déteste.

Vraiment ? Pourquoi est-elle encore là ? Il n'y a qu'elle pour ne pas se rendre compte qu'elle est faite pour ça. Et lui qui clairement enchaîne les assistants habituellement, il n'a aucune envie de la voir partir. Il devient touchant avec le temps car dans l'ombre il fait beaucoup de petites attentions pour elle. Elle n'est pas la seule à anticiper à ses besoins.

Ils sont bien évidemment attiré l'un par l'autre depuis le premier jour mais rien ne se joue... pourtant la tension s'étire au fil du livre. On voit qu'il y a une complicité, une amitié qui s'est créée. Il lui fait totalement confiance alors même qu'il ne peut s'empêcher d'être un incroyable bâtard avec ces remarques professionnelles quand ce n'est pas des avances depuis qu'ils ont échangé un baiser.

Le gros défaut du livre c'est justement le langage cru qu'il utilise systématiquement, ça dessert la romance. Je faisais la grimace et sautais vite le paragraphe, parce que je trouve ça too much. Un mec me sort lui ça, je rigole car il n'est pas pris au sérieux. Après, peut-être qu'aux USA c'est comme ça qu'on parle ? Heureusement, il n'y en a pas beaucoup et c'est donc facile de tourner les pages jusqu'à très tard dans la nuit. Oui c'est ce que j'ai fait, j'ai lu jusqu'à le terminer.
Lien : https://booksnunicorns.com/p..
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