À sa manière de me regarder lorsque nous étions seuls, comme s’il me déshabillait couche par couche, à la façon dont il prononçait mon nom, j’étais toujours excitée.
Je n’étais pas capable d’expliquer l’effet que produisait son séduisant sourire sur moi, et je ne pensais pas pouvoir un jour me résoudre à franchir la limite.
— Vous faut-il autre chose ?
— Ta bouche ne serait pas de refus.
— Je ne coucherai pas avec vous au travail.
— Les murs sont insonorisés, lui rappelai-je en tapotant mes doigts sur le bureau.
Vous le savez très bien puisque c’est vous qui les avez fait renforcer.
— J’ai fait ça afin de ne plus avoir à vous entendre m’appeler depuis votre bureau.