C'est un livre que j'ai beaucoup aimé. Cependant, je pense qu'il peint davantage la cruauté des hommes et de la guerre, qu'il déclenche une réflexion sur le pardon. Simon évoque le souvenir du petit garçon Eli quand le SS lui raconte ses crimes. le narrateur n'était pas père et cela ce perçoit. On ne pardonne pas un massacreur d'innocents, comme on ne pardonne pas au cancer de tuer des enfants.
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