Un retour à l'amour - Manuel de psychothérapie spirituelle : lâcher prise, pardonner, aimer

Ce que nous pensons être la culpabilité des autres est, en fait, leur peur. Tout négativisme découle de la peur. Si quelqu'un est en colère, c'est qu'il a peur. Si quelqu'un est brutal, c'est qu'il a peur. Si quelqu'un est manipulateur, c'est qu'il a peur. Si quelqu'un est cruel, c'est qu'il a peur. Il n'existe aucune peur que l'amour ne soit capable de dissiper. Il n'existe aucun négativisme que le pardon ne soit capable de transformer.

Les miracles, c'est quand nous demandons à Dieu ce que nous pouvons faire pour lui.

En vérité, plus quelque chose nous importe, plus il est important de le remettre à Dieu. Ce que nous Lui abandonnons est aussi ce qui recevra le plus de soins. Placer quelque chose entre les mains de Dieu, c'est le mettre mentalement sous la protection et le confier aux bons soins de l'univers.

C'est notre propre lumière et non notre obscurité qui nous effraie le plus. Nous nous posons la question... Qui suis-je, moi, pour être brillant, radieux, talentueux et merveilleux ? En fait, qui êtes-vous pour ne pas l'être ? Vous êtes un enfant de Dieu. Vous restreindre, vivre petit, ne rend pas service au monde. L'illumination n'est pas de vous rétrécir pour éviter d'insécuriser les autres. Nous sommes tous appelés à briller, comme les enfants le font. Elle ne se trouve pas seulement chez quelques élus, elle est en chacun de nous, Et, au fur et à mesure que nous laissons briller notre propre lumière, nous donnons inconsciemment aux autres la permission de faire de même. En nous libérant de notre propre peur, notre puissance libère automatiquement les autres.

Les Alcooliques anonymes disent que "chaque problème qui se présente porte en lui sa propre solution". Les crises aussi portent en elles leur solution, en ce sens qu'elles nous mettent à genoux, notre façon la plus humble de penser. Si dès le départ nous qvions été à genoux - si nous avions donné au pouvoir de Dieu préséance sur le nôtre, donné à l'amour préséance sur toutes nos ambitions personnelles - alors nos problèmes ne se seraient pas développés.

Notre peur la plus profonde n'est pas que nous ne soyons pas à la hauteur; notre peur la plus profonde est que nous sommes puissants au delà de toute limite. C'est notre propre lumière et non pas notre obscurité qui nous effraie le plus.

Notre plus grande peur n'est pas que nous sommes insuffisants. Notre plus grande peur est que nous sommes puissants sans mesure. C'est notre lumière, pas notre obscurité qui nous fait peur. Nous nous demandons nous-mêmes, « qui suis-je pour être brillant, magnifique, talentueux, fabuleux? » En fait, qui n'êtes-vous pas ? Vous êtes un enfant de Dieu. Ton petit jeu ne sert pas le monde. Il n'y a rien d'éclairé sur votre abaissement de sorte que les autres personnes ne se sentent sûrs autour de vous. Nous sommes tous appelés à briller, comme font les enfants. Nous sommes nés pour rendre manifeste la gloire de Dieu qui est en nous. Il n'est pas seulement à certains d'entre nous ; Il est en chacun de nous. Et que nous laissons briller notre propre lumière, nous donnons inconsciemment autrui l'autorisation de faire la même chose. Comme nous sommes libérés de notre propre peur, notre présence automatiquement en libère d'autres.

Our deepest fear is not that we are inadequate.
Our deepest fear is that we are powerful beyond measure.
It is our light, not our darkness that most frightens us.
We ask ourselves, Who am I to be brilliant, gorgeous, talented, fabulous ?
Actually, who are you not to be ? You are a child of God.
Your playing small does not serve the World.
There is nothing enlightened about shrinking so that other people won't feel insecure around you.
We are all meant to shine, as children do.
We were born to make manifest the glory of God that is within us.
It's not just in some of us ; it's in everyone.
And as we let our own light shine, we unconsciously give other people permission to do the same.
As we are liberated from our own fear, our presence automatically liberate others.
NB : texte utilisé par Nelson Mandela lors de son discours d'investiture à la présidence en 1994.