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Critique de Sorello


du bon et du moins bon.

à une époque ou les moyens de communications ne cessent d'évoluer, on cherche toujours a faire mieux, a trouver un moyen de mieux communiquer, ou de communiquer plus vite. dans interférences, c'est la même chose, et c'est pour ça qu'a été inventé l'AEC: un moyen de mieux se connecter aux émotions d'une personne qui nous est proche. après quelques semaines avec relations avec Trent, Briddey s'apprête à subir elle aussi cette opération, contre l'avis de son entourage. mais tout ne se passe pas comme prévu.

globalement, le livre est assez bien mené, beaucoup de choses intéressantes, une fin qui m'a surprise, des personnages drôle et attachants (même si à la base, briddey est vraiment exécrable je trouve) mais ma lecture a quand même été laborieuse. généralement, j'ai le temps de lire un livre en un ou deux jours, pour interférences, j'ai vraiment eu du mal a ne pas stopper ma lecture toute les 20 minutes, j'étais pas concentrée par le livre, pas happée par l'histoire. il y a pas mal de longueur, surtout avec des passages un peu répétitif composé de réfléxion sur tel chanson ou tel poème pour éviter d'entendre les voix mais ça dure tellement longtemps qu'au final on s'y perd (ou parfois meme, on saute certains passages) et je sais que quand je fais ça, c'est que le livre n'a pas été a la hauteur de mes attentes.

paradoxalement, plus je lisais plus l'histoire était intéressante mais plus je la trouvais longue aussi. c'était vraiment une histoire à deux vitesses, parsemés de temps morts un peu longuet et d'autre passage plus rythmée qui poussait a poursuivre quand même dans mon histoire.

mais globalement, je reste sur un avis assez mitigé.
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