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Critique de 1eredecouv
En 1918, au lendemain de la Grande Guerre qui a laissé la population endeuillée, les réjouissances sont de courte durée. Une nouvelle menace s'apprête à toucher de plein fouet les survivants : la grippe espagnole est en plein essor. Alors que le virus se propage à une vitesse folle, Pia et Bernice vont devoir faire face à l'horreur : la perte d'un être cher. Alors que l'une gardera l'espoir de retrouver les autres membres de sa famille, l'autre va peu à peu sombrer dans la folie.
Ellen Marie Wiseman a le don de nous plonger dans des histoires qui ne peuvent pas laisser indifférents, dans des périodes dramatiques, dans des destinées brisées. J'ai été complètement happée par ce nouveau roman dont les premières pages m'ont glacée d'effroi. J'en ai appris beaucoup sur cette terrible épidémie dévastatrice, qui a d'ailleurs laissé un grand nombre d'orphelins. Certains passages sont terriblement durs à lire mais la plume est criante de véracité historique et l'on sent les recherches effectuées par l'autrice.
Le personnage de Pia est bouleversant et terriblement attachant. Cette jeune fille dont la résilience n'a pas de limite oeuvrera sans cesse pour retrouver ses petits frères. le personnage de Bernice est totalement en contraste avec la détermination de Pia. Incapable de surmonter sa peine et son deuil après la mort de son fils, elle sombrera lentement dans la folie, se laissant envahir par la rancoeur, recherchant à tout prix un responsable à son malheur. Pour Bernice, les coupables sont tout désignés : les immigrants qui accaparent les médecins à l'hôpital. Vous l'aurez compris, au delà de l'aspect historique par l'immersion dans cette épidémie meurtrière, l'autrice aborde également le racisme et la ségrégation.
Ce n'est pas mon roman favori de l'autrice, j'avais eu un gros coup de coeur pour Ce qu'elle a laissé derrière elle, mais j'ai tout de même passé un très bon moment et j'ai énormément apprécié cette histoire.
Ellen Marie Wiseman a le don de nous plonger dans des histoires qui ne peuvent pas laisser indifférents, dans des périodes dramatiques, dans des destinées brisées. J'ai été complètement happée par ce nouveau roman dont les premières pages m'ont glacée d'effroi. J'en ai appris beaucoup sur cette terrible épidémie dévastatrice, qui a d'ailleurs laissé un grand nombre d'orphelins. Certains passages sont terriblement durs à lire mais la plume est criante de véracité historique et l'on sent les recherches effectuées par l'autrice.
Le personnage de Pia est bouleversant et terriblement attachant. Cette jeune fille dont la résilience n'a pas de limite oeuvrera sans cesse pour retrouver ses petits frères. le personnage de Bernice est totalement en contraste avec la détermination de Pia. Incapable de surmonter sa peine et son deuil après la mort de son fils, elle sombrera lentement dans la folie, se laissant envahir par la rancoeur, recherchant à tout prix un responsable à son malheur. Pour Bernice, les coupables sont tout désignés : les immigrants qui accaparent les médecins à l'hôpital. Vous l'aurez compris, au delà de l'aspect historique par l'immersion dans cette épidémie meurtrière, l'autrice aborde également le racisme et la ségrégation.
Ce n'est pas mon roman favori de l'autrice, j'avais eu un gros coup de coeur pour Ce qu'elle a laissé derrière elle, mais j'ai tout de même passé un très bon moment et j'ai énormément apprécié cette histoire.
