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Critique de karen_univers
Un quatrième tome que j'ai trouvé un peu en dessous des autres. Peut-être que c'est ce qui arrive après un troisième tome que j'ai vraiment adoré lire. Pourtant, l'univers de Suzanne Wright est toujours aussi prenant et aussi riche. Elle continue de le développer, pour notre plus grand plaisir, renouvellant à chaque fois un peu plus son histoire pour nous happer à l'intérieur de son livre et nous rendre complètement accro à sa saga.
Comme à son habitude, son livre commence littéralement sur les chapeaux de roues. Balancé directement dans l'histoire par un événement de taille, on n'a vraiment pas le temps de prendre notre temps. A chaque fois qu'on lit le premier chapitre, on ne peut pas s'empêcher de se dire "wow !" et fatalement, on veut en savoir plus. Ce quatrième tome se concentre sur les personnages de Marcus Fuller, lieutenant de la meute du phénix, et de Roni Axton, lieutenant et soeur de Nick, l'alpha de la meute mercure. Entre ces deux personnages, c'est explosif, éléctrique et plein de tension. Dès le départ, on sait qu'ils s'attirent mutuellement. Et pourtant, vis à vis des tomes précédents, je n'imaginais pas que Marcus et Roni puissent être tels qu'ils apparaissent dans ce 4ème tome.
Marcus est plutôt calme, habituellement. Dans le 3ème tome, il observait Roni et Dominique se balancer des vannes sans jamais réagir ou montré son mécontentement. Là, il s'avère gros dragueur, appréciant à chaque instant de fleurter et surtout de faire du rentre dedans à Roni sans la moindre gêne. Quant à Roni, de part son passé, et le fait qu'elle ait passé six longs mois sous forme lupine avant d'accepter de reprendre forme humaine, je l'aurais davantage cru fragile - surtout quand on sait que sa louve la protège énormément. Et là, on apprend que c'est une guerrière au très fort caractère. En bref, ils sont aux antipodes de ce qu'ils m'ont semblé être dans les tomes précédents. Et ça m'a assez choqué, quelque part, comme si Suzanne Wright avait changé d'idées les concernant.
Je n'ai pas vraiment réussi à m'attacher à eux, ni même à leur "couple". le jeu de séduction n'était vraiment pas terrible, voire quasi inexistant... Marcus fait, apparemment, preuve de beaucoup de patience pour se faire accepter de Roni, et pourtant, dans les échanges qu'il a avec elle, il donne surtout l'impression que tout est déjà bien acquis, et qu'elle se voile tout simplement la face. Quant à Roni, elle veut paraître tellement forte et indépendante qu'elle en perd sa saveur. Bien sûr qu'elle n'a pas besoin d'un homme pour la protéger, etc. (c'est le principe d'une héroïne badass !) mais je l'ai trouvé particulièrement fade... J'en attendais vraiment beaucoup plus de Roni.
Pourtant, malgré tout, j'ai passé un bon moment lecture, suivre l'évolution de la meute du phénix, et de la nouvelle meute mercure m'a beaucoup plu. L'écriture est toujours aussi fluide et additive. Je déplore cependant les coquilles de traduction et les confusions de prénom entre deux personnages. Surtout quand on confond le personnage principal avec un secondaire à l'histoire. Dans l'absolue, même si j'ai apprécié ma lecture, je suis davantage restée en surface plutôt que d'être plongée dans le roman. C'est dommage parce que c'était un couple qui avait énormément de potentiel et qui me faisait de l'oeil.
Comme à son habitude, son livre commence littéralement sur les chapeaux de roues. Balancé directement dans l'histoire par un événement de taille, on n'a vraiment pas le temps de prendre notre temps. A chaque fois qu'on lit le premier chapitre, on ne peut pas s'empêcher de se dire "wow !" et fatalement, on veut en savoir plus. Ce quatrième tome se concentre sur les personnages de Marcus Fuller, lieutenant de la meute du phénix, et de Roni Axton, lieutenant et soeur de Nick, l'alpha de la meute mercure. Entre ces deux personnages, c'est explosif, éléctrique et plein de tension. Dès le départ, on sait qu'ils s'attirent mutuellement. Et pourtant, vis à vis des tomes précédents, je n'imaginais pas que Marcus et Roni puissent être tels qu'ils apparaissent dans ce 4ème tome.
Marcus est plutôt calme, habituellement. Dans le 3ème tome, il observait Roni et Dominique se balancer des vannes sans jamais réagir ou montré son mécontentement. Là, il s'avère gros dragueur, appréciant à chaque instant de fleurter et surtout de faire du rentre dedans à Roni sans la moindre gêne. Quant à Roni, de part son passé, et le fait qu'elle ait passé six longs mois sous forme lupine avant d'accepter de reprendre forme humaine, je l'aurais davantage cru fragile - surtout quand on sait que sa louve la protège énormément. Et là, on apprend que c'est une guerrière au très fort caractère. En bref, ils sont aux antipodes de ce qu'ils m'ont semblé être dans les tomes précédents. Et ça m'a assez choqué, quelque part, comme si Suzanne Wright avait changé d'idées les concernant.
Je n'ai pas vraiment réussi à m'attacher à eux, ni même à leur "couple". le jeu de séduction n'était vraiment pas terrible, voire quasi inexistant... Marcus fait, apparemment, preuve de beaucoup de patience pour se faire accepter de Roni, et pourtant, dans les échanges qu'il a avec elle, il donne surtout l'impression que tout est déjà bien acquis, et qu'elle se voile tout simplement la face. Quant à Roni, elle veut paraître tellement forte et indépendante qu'elle en perd sa saveur. Bien sûr qu'elle n'a pas besoin d'un homme pour la protéger, etc. (c'est le principe d'une héroïne badass !) mais je l'ai trouvé particulièrement fade... J'en attendais vraiment beaucoup plus de Roni.
Pourtant, malgré tout, j'ai passé un bon moment lecture, suivre l'évolution de la meute du phénix, et de la nouvelle meute mercure m'a beaucoup plu. L'écriture est toujours aussi fluide et additive. Je déplore cependant les coquilles de traduction et les confusions de prénom entre deux personnages. Surtout quand on confond le personnage principal avec un secondaire à l'histoire. Dans l'absolue, même si j'ai apprécié ma lecture, je suis davantage restée en surface plutôt que d'être plongée dans le roman. C'est dommage parce que c'était un couple qui avait énormément de potentiel et qui me faisait de l'oeil.
