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Critique de bilodoh


Un roman post-post-apocalyptique qui met en scène une tribu primitive et surtout un « enfant noir » aux capacités étonnantes.

Le roman commence avec Thoz, chef d'une tribu qui chasse pour se nourrir mais peut aussi devenir la proie de monstres mutants, des poulpes gigantesques sortis de la mer. Il y a le Vieux, puissant sorcier, et l'enfant noir, plus ou moins rejeté à cause de sa couleur.

Ensuite, c'est un récit tout à fait foisonnant. En plus de l'effet magique des radiations, on aura un ours apprivoisé, des Vénusiens reproduits en éprouvettes, des robots qui contrôlent une ville morte, et même des performances de lévitation et de dédoublement. En un peu plus de 250 pages de courts chapitres, pas de temps pour s'immerger dans les différentes atmosphères, pas de descriptions expliquant les phénomènes rencontrés, on passe à autre chose rapidement, avec juste quelques interrogations sur le sens de la vie.

(Et ce n'est lorsque l'enfant noir va dans la ville de Niourk que j'ai compris enfin ce titre étrange, une déformation du nom d'une très ancienne ville terrienne : New York.)

Un roman classé « jeunesse » et choisi pour remplir un item du multidéfi 2020, mais qui m'a fait un auteur SF que je ne connaissais pas, un auteur français, mais une histoire qui se passe sur le continent américain…
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