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Critique de zorme
Curieusement, j'ai choisi ce livre pour découvrir Irvin Yalom, par adoration pour Gustave Klimt, et parce que j'ai lu « liberté » sur le quatrième de couverture. Pour tout, sauf pour son sujet principal !
1000 pages quand même. Il n'y a pas de hasard, dit-on…
1000 pages de psychanalyse, à cent lieues de mon parcours professionnel. Mais alors, à la portée de tout le monde il me semble et c'est la force de l'auteur. J'ai eu plus de mal à saisir la pensée de Anne Dufourmentelle, par exemple.
Ce livre est inspirant et stimulant. J'y ai découvert ou redécouvert des tas de choses, notamment sur les enfants. Il fait partie de ces livres qui continuent à infuser longtemps en vous, pour vous aider à vivre. Mon exemplaire est maintenant bourré de post-it.
Il est évidemment destiné à toutes celles et ceux qui (se) cherchent, pas à ceux qui ont trouvé depuis longtemps, qui sont plus vieux que leur grands-pères. Encore que… ceux-là sont peut-être finalement les plus concernés.
Quatre grandes parties traitent de la mort et de la peur qui en découle, de la liberté, de l'isolement (au sens fondamental) et de l'absence de sens.
J'ai apprécié le résumé de la pensée freudienne, qui confirme mes impressions (mais le sujet semble tabou, tant l'homme fait autorité dans son domaine).
En revanche, je ne peux que m'inscrire en faux quand Yalom « interdit » de se questionner sur l'utilité de l'élevage. Heureusement, le monde change et les preuves continuent d'affluer pour remettre en cause cette pratique dévastatrice et surtout sa finalité. Yalom peut nous déranger sur plein de sujets : nos obsessions, nos envies de suicide, etc. Mais il semble plutôt obtus à ce sujet. Peut-être manque-t-il un chapitre sur la dissonance cognitive et un autre sur l'imposture intellectuelle ;)
1000 pages quand même. Il n'y a pas de hasard, dit-on…
1000 pages de psychanalyse, à cent lieues de mon parcours professionnel. Mais alors, à la portée de tout le monde il me semble et c'est la force de l'auteur. J'ai eu plus de mal à saisir la pensée de Anne Dufourmentelle, par exemple.
Ce livre est inspirant et stimulant. J'y ai découvert ou redécouvert des tas de choses, notamment sur les enfants. Il fait partie de ces livres qui continuent à infuser longtemps en vous, pour vous aider à vivre. Mon exemplaire est maintenant bourré de post-it.
Il est évidemment destiné à toutes celles et ceux qui (se) cherchent, pas à ceux qui ont trouvé depuis longtemps, qui sont plus vieux que leur grands-pères. Encore que… ceux-là sont peut-être finalement les plus concernés.
Quatre grandes parties traitent de la mort et de la peur qui en découle, de la liberté, de l'isolement (au sens fondamental) et de l'absence de sens.
J'ai apprécié le résumé de la pensée freudienne, qui confirme mes impressions (mais le sujet semble tabou, tant l'homme fait autorité dans son domaine).
En revanche, je ne peux que m'inscrire en faux quand Yalom « interdit » de se questionner sur l'utilité de l'élevage. Heureusement, le monde change et les preuves continuent d'affluer pour remettre en cause cette pratique dévastatrice et surtout sa finalité. Yalom peut nous déranger sur plein de sujets : nos obsessions, nos envies de suicide, etc. Mais il semble plutôt obtus à ce sujet. Peut-être manque-t-il un chapitre sur la dissonance cognitive et un autre sur l'imposture intellectuelle ;)
