The ancient magus bride, tome 17

Koré Yamazaki revisite habilement de nombreux mythes et récits mettant en scène des sorciers ou des fées. Ainsi on trouve l'évocation de la déesse Morrigan. Une incarnation terrible et sans pitié. Il vaut mieux éviter d'être sur son chemin. Qu'elle sera les conséquences de sa présence dans le monde des hommes? Qu'importe puisque pour l'instant nous avons un problème plus compliqué sur les bras. Philomena a pris une autre forme et puise l'énergie magique. Cette forme est liée à son passé et une volonté de retrouver ces parents. Pourquoi est-elle devenue ainsi? Et qui est derrière cette manipulation de l'enfant? La mangaka nous emmène dans le passé de l'adolescente. Au final, c'est une victime manipulée. Chisé ne veut pas baisser les bras. L'amitié et la solidarité sont de mises. Malgré leur différence dans leurs pouvoirs et de lien familiale, ils s'allient comme des amis. La tâche s'annonce compliquée et complexe. C'est une opportunité pour certains élèves d'expérimenter leurs savoirs. Une vraie immersion dans le monde fantastique. Rien de très bouleversant tout de même car les codes sont très bien respectés. Nous sommes loin de la poésie du début. Parfois on se perd dans les circonvolutions qui prennent beaucoup de place. Au final, on passe un bon moment. La suite n'est pas nécessaire à la lecture immédiate. C'est une série qui se butine sans trop d'impatience. On verra pour la suite prochainement.
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