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Critique de mallaurylit
Chère Sandrine,
La littérature pour moi, cela ressemble à de la Grande Cuisine, celle qui devient un art par ce qu'elle apporte. Chaque ingrédient est choisi soigneusement, pour sa qualité, pour les sensations qu'il va provoquer. Au départ, ils sont tous récoltés, sélectionnés de leur côté, et puis le cuisinier fait le lien entre tous, réfléchit son assemblage, cette fusion des aliments qui va provoquer le bonheur, le plaisir gustatif, le réveil des émotions.
Ton roman, je l'ai vécu comme cela… des composantes parfaites…Une écriture maîtrisée, intéressante, un cadre idéal, une ambiance et un décor fascinant, des personnages au potentiel indéniable, une intrigue prometteuse, une histoire et un vécu riche, fascinant. Et puis tout cela se regroupe, et je lis, avidement, prête à ressentir, à vibrer, et alors lorsque la dernière page se referme, je ne comprends pas…il ne s'est rien passé, j'ai lu, j'ai attendu cet instant où la magie opère, parce que tout était réuni et pourtant je ressors frustrée, mitigée en me demandant pourquoi je suis passée à côté.
Il me reste Gamal, ce parcours et cette vie incroyablement forte, loin de ce qu'il est devenu, enfermé dans sa coquille. La passion pour son métier, cet homme dont l'apparence n'est que le faible reflet de ce qu'il est…et puis Howard et Clara, écrasé par cette personnalité, dont finalement, je ne retiendrai que peu de choses, parce qu'ils n'ont pas su m'émouvoir.
Et si tu savais, comme je n'aime pas cette impression de ne pas être parvenu à entrer dans ton univers, de rester loin, comme étrangère à ce que tu écris alors que j'aurais tellement voulu m'extasier, déguster avec gourmandise tes mots…
Peut-être suis-je trop exigeante, que je n'ai pas su percevoir toutes les nuances comme il se doit. Et je me dis qu'il ne faut cependant rien rejeter car je sais que d'un palais à l'autre, les saveurs perçues ne seront pas les mêmes.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
La littérature pour moi, cela ressemble à de la Grande Cuisine, celle qui devient un art par ce qu'elle apporte. Chaque ingrédient est choisi soigneusement, pour sa qualité, pour les sensations qu'il va provoquer. Au départ, ils sont tous récoltés, sélectionnés de leur côté, et puis le cuisinier fait le lien entre tous, réfléchit son assemblage, cette fusion des aliments qui va provoquer le bonheur, le plaisir gustatif, le réveil des émotions.
Ton roman, je l'ai vécu comme cela… des composantes parfaites…Une écriture maîtrisée, intéressante, un cadre idéal, une ambiance et un décor fascinant, des personnages au potentiel indéniable, une intrigue prometteuse, une histoire et un vécu riche, fascinant. Et puis tout cela se regroupe, et je lis, avidement, prête à ressentir, à vibrer, et alors lorsque la dernière page se referme, je ne comprends pas…il ne s'est rien passé, j'ai lu, j'ai attendu cet instant où la magie opère, parce que tout était réuni et pourtant je ressors frustrée, mitigée en me demandant pourquoi je suis passée à côté.
Il me reste Gamal, ce parcours et cette vie incroyablement forte, loin de ce qu'il est devenu, enfermé dans sa coquille. La passion pour son métier, cet homme dont l'apparence n'est que le faible reflet de ce qu'il est…et puis Howard et Clara, écrasé par cette personnalité, dont finalement, je ne retiendrai que peu de choses, parce qu'ils n'ont pas su m'émouvoir.
Et si tu savais, comme je n'aime pas cette impression de ne pas être parvenu à entrer dans ton univers, de rester loin, comme étrangère à ce que tu écris alors que j'aurais tellement voulu m'extasier, déguster avec gourmandise tes mots…
Peut-être suis-je trop exigeante, que je n'ai pas su percevoir toutes les nuances comme il se doit. Et je me dis qu'il ne faut cependant rien rejeter car je sais que d'un palais à l'autre, les saveurs perçues ne seront pas les mêmes.
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