J'avais lu quelque part que
Eiji Yoshikawa était le
Victor Hugo japonais. C'est ce qui m'a donné envie de lire cette épopée racontant la vie des guerriers et samouraïs. Une bonne envie car le récit m'a étonnée, passionnée, même si je suis assez contente de ne pas avoir vécu à cette époque où la vie ne valait pas grand-chose, celle des hommes qui mouraient dans d'atroces combats et celle des femmes qui n'étaient que des servantes, des prostituées ou même rien du tout.
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