Fernande, Mathilde, Zoé... Comme d'habitude chez Marguerite, les hommes ont la part belle, son père Michel (elle aime appeler les gens ou personnages par leurs prénom, sans doute pour montrer une certaine proximité, voire de l'estime ou de l'affection) son grand oncle Fernand mort jeune. Les femmes ont droit à la portion congrue, sans doute un paradoxe cousu de fil blanc...Son français est de qualité, c'est pourquoi, je la relis (surtout
Mémoires d'Hadrien). Ici, elle accumule les clichés pessimistes ou ironiques, sans parler de ses descriptions (qui font plutôt sourire mais agace quand même) sur les mangeurs cruels de viande, elle oublie que ses personnages aimaient la bonne chair, elle se garde bien d'en parler. Allez Marguerite, laisse toi aller.
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