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Critique de margotpereira71
Je ne sais pas comment aborder cette histoire. Ca été le plus gros bouleversement dans ma vie ces derniers temps (je n'exagère pas). J'aurai préféré ne pas parler d'Eliza et ses monstres, parce qu'à mes yeux, c'est un roman rien qu'à moi (façon de parler évidemment) mais il faut que je m'exprime. Il faut que je dise ce qu'Eliza et Wallace m'ont laissé sur le coeur.
Eliza et ses monstres, c'est le genre de roman qui semble avoir été écrit pour moi. Il y a pleins de références à ma vie, à des délires avec des potes, rien que le personnage d'Eliza est le sosie mental presque parfait d'une de mes amies. Je me sens très proche d'Eliza : je n'aime pas l'école, je n'aime pas apprendre, je ne suis pas très sociable. J'aime dessiner et rencontrer des gens en ligne, tout comme elle. Je suis admirative face à l'investissement d'Eliza dans la réalisation de la Mer Infernale. C'est toujours fascinant de voir à quel point les gens peuvent être passionnés par ce qu'ils font, au point de ne vivre que pour cela.
L'histoire entre Eliza et Wallace n'a rien de nunuche, et contrairement à ce que je pensais, le roman ne tourne absolument pas autour de leur amour et de si ils vont finir ensemble ou non.
Eliza et ses monstres m'a surprise. Parce que je ne savais pas à quoi m'attendre, je ne savais jamais ce qui allait se passer. Est-ce qu'ils vont finir ensemble ? Comment va se finir l'histoire ? Quels bouleversement vont survenir ? Et je n'ai eu mes réponses qu'en lisant, car c'est un roman imprévisible et c'est pour ça que je l'aime autant.
Eliza et ses monstres m'a faite rire. Beaucoup rire. Vraiment beaucoup rire. Les messages entre Emmy, Max et Eliza sont tellement drôles ! Ainsi que certaines situations et x échanges avec Wallace (que j'apprécie énormément, c'est vraiment un garçon original que je n'ai jamais vu).
Eliza et ses monstres m'a faite pleurer. Une seule fois, mais j'ai fondu en larmes. J'ai sangloté, et ça ne m'était jamais arrivée pendant une lecture. Je me suis sentie plus proche d'Eliza que jamais. Page 366 à 369. Ces quatre pages, c'était une bombe atomique qui m'a frappée de plein fouet. Je n'entrerai surtout pas dans les détails de ma vie privée, mais bon sang, je me suis dit à ce moment là "Elle est exactement comme quoi, on se ressemble tellement".
Je n'ai pas été déçue. Je n'ai pas été dégoûtée. A mes yeux, ce roman est parfait.
Juste... Parfait...
Il y a des monstres dans la mer.
Eliza et ses monstres, c'est le genre de roman qui semble avoir été écrit pour moi. Il y a pleins de références à ma vie, à des délires avec des potes, rien que le personnage d'Eliza est le sosie mental presque parfait d'une de mes amies. Je me sens très proche d'Eliza : je n'aime pas l'école, je n'aime pas apprendre, je ne suis pas très sociable. J'aime dessiner et rencontrer des gens en ligne, tout comme elle. Je suis admirative face à l'investissement d'Eliza dans la réalisation de la Mer Infernale. C'est toujours fascinant de voir à quel point les gens peuvent être passionnés par ce qu'ils font, au point de ne vivre que pour cela.
L'histoire entre Eliza et Wallace n'a rien de nunuche, et contrairement à ce que je pensais, le roman ne tourne absolument pas autour de leur amour et de si ils vont finir ensemble ou non.
Eliza et ses monstres m'a surprise. Parce que je ne savais pas à quoi m'attendre, je ne savais jamais ce qui allait se passer. Est-ce qu'ils vont finir ensemble ? Comment va se finir l'histoire ? Quels bouleversement vont survenir ? Et je n'ai eu mes réponses qu'en lisant, car c'est un roman imprévisible et c'est pour ça que je l'aime autant.
Eliza et ses monstres m'a faite rire. Beaucoup rire. Vraiment beaucoup rire. Les messages entre Emmy, Max et Eliza sont tellement drôles ! Ainsi que certaines situations et x échanges avec Wallace (que j'apprécie énormément, c'est vraiment un garçon original que je n'ai jamais vu).
Eliza et ses monstres m'a faite pleurer. Une seule fois, mais j'ai fondu en larmes. J'ai sangloté, et ça ne m'était jamais arrivée pendant une lecture. Je me suis sentie plus proche d'Eliza que jamais. Page 366 à 369. Ces quatre pages, c'était une bombe atomique qui m'a frappée de plein fouet. Je n'entrerai surtout pas dans les détails de ma vie privée, mais bon sang, je me suis dit à ce moment là "Elle est exactement comme quoi, on se ressemble tellement".
Je n'ai pas été déçue. Je n'ai pas été dégoûtée. A mes yeux, ce roman est parfait.
Juste... Parfait...
Il y a des monstres dans la mer.
