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Critique de Titania
C'est du brutal !
« On ne fait pas d'omelette sans qu'une poule ait mal au fion », c'est la morale énoncée telle quelle dans cette savoureuse BD, une série B située par les auteurs au fin fond de l'Australie dans les années 70.
Ils nous racontent l'histoire d'un crime , et de deux accusés, le mari et le beau frère de la pulpeuse Lee, la défunte victime, qui aguichait tous les hommes autour d'elle. Les mobiles ne manquent pas, et le scénario nous égare avec beaucoup de malice et des dialogues d'anthologie.
Je trouve le scénario plus intéressant que le graphisme très classique, et je ne résiste pas à ce petit échange désabusé.
« T'es devenu moins bavard avec le temps, on dirait ?
-les moutons, ça pond des crottes, rarement des dialogues bien ciselés »
Je refuse de vous en dire plus, allez volontiers découvrir qui est l'assassin, vous passerez sans aucun doute un bon moment dans le bush !
« On ne fait pas d'omelette sans qu'une poule ait mal au fion », c'est la morale énoncée telle quelle dans cette savoureuse BD, une série B située par les auteurs au fin fond de l'Australie dans les années 70.
Ils nous racontent l'histoire d'un crime , et de deux accusés, le mari et le beau frère de la pulpeuse Lee, la défunte victime, qui aguichait tous les hommes autour d'elle. Les mobiles ne manquent pas, et le scénario nous égare avec beaucoup de malice et des dialogues d'anthologie.
Je trouve le scénario plus intéressant que le graphisme très classique, et je ne résiste pas à ce petit échange désabusé.
« T'es devenu moins bavard avec le temps, on dirait ?
-les moutons, ça pond des crottes, rarement des dialogues bien ciselés »
Je refuse de vous en dire plus, allez volontiers découvrir qui est l'assassin, vous passerez sans aucun doute un bon moment dans le bush !
