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Critique de HORUSFONCK
Les nouvelles enquêtes de Ric Hochet vont bon train, qui s'intercalent entre celles narrées par les regrettés Tibet et Duchâteau!
Bourdon, parti faire le "commissaire toubab" en casamance, Ric Hochet va faire équipe avec le commissaire Ousmane lamine Cissoko Dior... L'inspecteur Ledur (pardon, Ledru) en ronge son frein de se trouver sous les ordre d'un noir...
C'est sous le numéro dix (le dixième arrondissement de Paris et le département de l'Aube) que vont se dérouler deux enquêtes en France sur des meurtres bien sanglants.... Cette fois, la concierge de Ric Hochet va se trouver des dons de détective privée, avec une Nadine plus futée et dessalée que jamais! Tibet et Duchâteau ne nous avaient pas tout dit.
En parallèle, le commissaire Bourdon enquête sur un meurtre dans un village africain... Et, au final, le fantastique ou le sorcier n'est pas là où l'on pourrait le croire!.. Mais il s'agit toujours d'amour.
Voilà donc un bon opus de cette nouvelle série qui complète agréablement celle, très longue et peuplée, de Tibet et Duchâteau... Avec une modernisation dans le rétro de la fin des années soixante.
Bourdon, parti faire le "commissaire toubab" en casamance, Ric Hochet va faire équipe avec le commissaire Ousmane lamine Cissoko Dior... L'inspecteur Ledur (pardon, Ledru) en ronge son frein de se trouver sous les ordre d'un noir...
C'est sous le numéro dix (le dixième arrondissement de Paris et le département de l'Aube) que vont se dérouler deux enquêtes en France sur des meurtres bien sanglants.... Cette fois, la concierge de Ric Hochet va se trouver des dons de détective privée, avec une Nadine plus futée et dessalée que jamais! Tibet et Duchâteau ne nous avaient pas tout dit.
En parallèle, le commissaire Bourdon enquête sur un meurtre dans un village africain... Et, au final, le fantastique ou le sorcier n'est pas là où l'on pourrait le croire!.. Mais il s'agit toujours d'amour.
Voilà donc un bon opus de cette nouvelle série qui complète agréablement celle, très longue et peuplée, de Tibet et Duchâteau... Avec une modernisation dans le rétro de la fin des années soixante.
