je rejoins complètement la critique précédente... hormis les dernières lignes :-)
certes, Zindell nous parle beaucoup de théories (pseudo ?)-scientifiques mais, perso, j'estime que c'est un ingrédient indispensable à l'équilibre de l'oeuvre et à la satisfaction que l'on éprouve en refermant le bouquin.
(et puis, c'est pas pire que les délires de
Dan Simmons dans
Ilium ;-) )
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