Je n'ai jamais ressenti les zombies autant répugnants, violents, pourris,... sur les autres supports (films, séries, jeux) que dans ce roman. Il vaut mieux avoir le coeur bien accroché pour lire
l'homme des morts. Une fois commencé, j'ai eu du mal à décrocher, on nous promet au quatrième de couverture de revenir là où l'épidémie à commencer, on nous a pas mentis sur la marchandise. Une sous-intrigue que j'ai aussi apprécié pour le personnage principal de Henry Marco torturé par ces démons intérieurs, un personnage secondaire dont je ne m'attendais pas du tout et l'univers du roman vraiment original.
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