Zola n'était certes pas fait pour le genre fantastique, auquel il emprunte cependant la trame de cette histoire de fausse mort et d'enterrement prématuré. Comme il ne laisse jamais douter le lecteur du caractère naturel et rationnel de ce qui arrive au personnage, l'effet global de l'histoire est complètement raté. Quelques belles pages sur la vie lamentable d'Olivier Bécaille avant sa "mort", et la fin de la nouvelle, où l'être souffreteux se soumet à la loi biologique de la vitalité, sont assez réussies cependant.
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