Au vu de toutes les critiques que j'ai pu lire sur Babelio concernant cette oeuvre, je constate que le projet naturaliste zolien et l'évolution des structures commerciales parisiennes ont été largement évoqués. Et ne pouvant répéter tout ce qui a été dit et bien dit, je me contenterai d'ajouter :
C'est l'un des rares romans des Rougon-Macquart qui se termine bien. C'est déroutant...
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